Casse-tête
Comment assembler les parties d'un haut-relief et d'une ronde-bosse associées ?
Un vrai casse-tête...
Maryline a décidé de s'inspirer de la sculpture "La Renommée retenant Pégase" d'Eugène Lequesne, en mélangeant haut-relief et ronde bosse. Mais les difficultés ont commencé dès le moulage. Il a fallu découper le modelage : les pattes, la femme, la première aile, le socle.
Tout s'est bien passé pour la partie plâtre.
Maintenant, il faut recoller chaque partie, jointer et assembler sur un support permettant de fixer l’œuvre au mur. Et là, c'est beaucoup plus complexe. Les pièces sont fragiles, et à l'opposé certaines sont lourdes et nécessitent une colle efficace pour que le plâtre adhère sur le composite en bois. La meilleure colle s'est définitivement la colle verte Scotch en gel transparent.
Fixation de Pégase sur le support...On ne voit encore que les pieds de la Renommée..Ce n'est pas fini !
Et voilà le résultat après une nuit de séchage : La Renommée est restée en place.
Le montage du cadre solidarisé avec le support mais sans fond a été un vrai défi. Il suffisait de soulever l'ensemble pour que le cadre parte un peu dans un sens et le support dans l'autre : les pieds et les sabots se cassaient en une ligne bien nette. Il a fallu tout recoller au moins quatre fois, le temps de tout assembler, de peindre, de mettre les trois crochets à l'arrière du support et du cadre.
La fixation au mur a été aussi compliquée car il fallait maintenir le support et le cadre dans le même axe tout en relevant l'anneau de chaque crochet pour qu'il s'accroche aux vis.
Donc pas d'exposition pour ce tableau, beaucoup trop fragile, tant pis...
Un vrai casse-tête...
Maryline a décidé de s'inspirer de la sculpture "La Renommée retenant Pégase" d'Eugène Lequesne, en mélangeant haut-relief et ronde bosse. Mais les difficultés ont commencé dès le moulage. Il a fallu découper le modelage : les pattes, la femme, la première aile, le socle.
Tout s'est bien passé pour la partie plâtre.
Maintenant, il faut recoller chaque partie, jointer et assembler sur un support permettant de fixer l’œuvre au mur. Et là, c'est beaucoup plus complexe. Les pièces sont fragiles, et à l'opposé certaines sont lourdes et nécessitent une colle efficace pour que le plâtre adhère sur le composite en bois. La meilleure colle s'est définitivement la colle verte Scotch en gel transparent.
Fixation de Pégase sur le support...On ne voit encore que les pieds de la Renommée..Ce n'est pas fini !
Premier essai de
collage de la Renommée : colle sous la robe, aux pieds et enduit de rebouchage
sous le bras et aux pieds. Une cale a été mise en place le temps du séchage
pour éviter qu'elle ne bascule.
Et voilà le résultat après une nuit de séchage : La Renommée est restée en place.
Philippe a donné une bonne idée pour réaliser les rênes : enrober de plâtre ou d'enduit une ficelle, la fixer dans la bouche du cheval et dans la main de La Renommée.
Le montage du cadre solidarisé avec le support mais sans fond a été un vrai défi. Il suffisait de soulever l'ensemble pour que le cadre parte un peu dans un sens et le support dans l'autre : les pieds et les sabots se cassaient en une ligne bien nette. Il a fallu tout recoller au moins quatre fois, le temps de tout assembler, de peindre, de mettre les trois crochets à l'arrière du support et du cadre.
La fixation au mur a été aussi compliquée car il fallait maintenir le support et le cadre dans le même axe tout en relevant l'anneau de chaque crochet pour qu'il s'accroche aux vis.
Donc pas d'exposition pour ce tableau, beaucoup trop fragile, tant pis...