Le moulage
Première étape : le négatif.
Nous badigeonnons du plâtre sur toute la surface de l’œuvre en terre. Puis, une fois sec, l'argile est enlevée délicatement, laissant le négatif, le moule.
Deuxième étape : le positif.
On coule du plâtre dans le négatif en ayant au préalable passé du savon liquide sur le plâtre humidifié. On y ajoute du filet pour renforcer le plâtre.
Puis on brise le négatif. Une étape délicate et physique, qui peut déboucher exceptionnellement sur des tirages avec de nombreuses reprises à réaliser. Mais cela se répare facilement avec de l'huile de coude. Heureusement, tout se passe généralement bien avec très peu de dégâts.
Puis on brise le négatif. Une étape délicate et physique, qui peut déboucher exceptionnellement sur des tirages avec de nombreuses reprises à réaliser. Mais cela se répare facilement avec de l'huile de coude. Heureusement, tout se passe généralement bien avec très peu de dégâts.
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| Voici un tirage très abîmé, un cas rare... |
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| Et après réparations, on ne remarque plus rien... |
Le tirage peut être simple pour les
bas-reliefs, ou peut se compliquer pour les hauts-reliefs ou les rondes-bosses avec au moins deux pièces,
parfois des parties à mouler à part. Il faut aussi souvent penser à la fabrication et la mise en place
d'armatures dans le moule en creux.
Les œuvres peuvent être monumentales multipliant les difficultés :
Les œuvres peuvent être monumentales multipliant les difficultés :
